Pour biaiser le tirage du loto...
Un lecteur, suite à mes messages du 17 et du 21 février sur la fonction alea(), m'a demandé comment faire pour tirer les nombres du loto (de 1 à 49) en favorisant certains numéros et en en défavorisant d’autres.
J'ai pour cela créé un petit modèle avec en colonne B les probabilités voulues, en réduisant celles des premiers numéros et en augmentant celle des derniers numéros. La cellule B51 vérifie que le total des probabilités fait bien 100%.
En colonne C, nous calculons les probabilités cumulées, c’est-à-dire la probabilité dans chaque ligne d’obtenir un résultat inférieur au nombre placé en colonne A.
La formule de la cellule E2, que nous avons reproduite en commentaire, permet de tirer un nombre au hasard entre 1 et 49, en respectant ces probabilités.
L’astuce de cette formule est qu’elle trouve le nombre comme étant la position de la dernière valeur de C2:C50 qui soit inférieure ou égale au nombre aléatoire engendré par alea(). La probabilité de trouver chaque numéro est donc bien égale à la probabilité en colonne B…
Remarque 1 – Bien entendu, rien n’empêche que le même nombre sorte plusieurs fois dans la liste.
Remarque 2 – Tirer ainsi un aléa dans l’intervalle [ 0 ; 1 ] et le situer dans une liste de probabilités cumulées est donc une méthode imparable pour réaliser une simulation probabiliste d'un phénomène dont on connaît les probabilités.
J'ai pour cela créé un petit modèle avec en colonne B les probabilités voulues, en réduisant celles des premiers numéros et en augmentant celle des derniers numéros. La cellule B51 vérifie que le total des probabilités fait bien 100%.
En colonne C, nous calculons les probabilités cumulées, c’est-à-dire la probabilité dans chaque ligne d’obtenir un résultat inférieur au nombre placé en colonne A.
La formule de la cellule E2, que nous avons reproduite en commentaire, permet de tirer un nombre au hasard entre 1 et 49, en respectant ces probabilités.
L’astuce de cette formule est qu’elle trouve le nombre comme étant la position de la dernière valeur de C2:C50 qui soit inférieure ou égale au nombre aléatoire engendré par alea(). La probabilité de trouver chaque numéro est donc bien égale à la probabilité en colonne B…Remarque 1 – Bien entendu, rien n’empêche que le même nombre sorte plusieurs fois dans la liste.
Remarque 2 – Tirer ainsi un aléa dans l’intervalle [ 0 ; 1 ] et le situer dans une liste de probabilités cumulées est donc une méthode imparable pour réaliser une simulation probabiliste d'un phénomène dont on connaît les probabilités.





Avec cette technique d’ancrage des graphiques dans les cellules, il devient extrêmement facile de modifier d’un coup la largeur et/ou la hauteur de tous les graphiques. Pour cela, on clique dans le coin supérieur gauche de la feuille pour la sélectionner toute entière ; ensuite, on modifie – selon les besoins – la hauteur d’une ligne et/ou la largeur d’une colonne. Toutes les lignes et colonnes prennent alors en compte cette modification.
« Déplacer et dimensionner avec les cellules » signifie que si l’on modifie la hauteur ou la largeur d’une ligne ou d’une colonne à l’intérieur de l’objet, la taille de l’objet est modifiée de façon qu’il demeure ancré sur les mêmes lignes et colonnes.
Sachez alors que, lorsque vous dessinez la forme en traçant l’ellipse en question, plusieurs touches vous permettent d’atteindre des objectifs spécifiques :