Originaux vs. Doublons en mieux !

Dans l’article précédent, nous avons vu comment obtenir automatiquement à la fois la liste des doublons, et celle des valeurs originales, obtenues à partir de deux listes de référence.

La solution proposée par Brian Canes fonctionne parfaitement bien mais je dois avouer que mon sens de l’esthétique – ainsi que mon souci d’efficacité ! – sont heurtés par la nécessité de créer trois colonnes de calculs intermédiaires.

J’ai donc imaginé une solution ne faisant appel qu’à une seule colonne de calculs intermédiaires. Voici donc ma solution, dans laquelle j’ai masqué les colonnes B à D, désormais superflues.

Le principe en est le suivant : j’incrémente un compteur à partir de +1 pour les doublons, et je décrémente un compteur à partir de -1 pour les originaux. Simple, mais efficace !

Les formules originales de ce modèle sont donc les suivantes…

H2 : 0

H3, copiée jusqu’en H7 : =si(nb.si($A$1:$A$15;A3)=1;min($H$2:H2)-1;si(estna( equiv($A$1:A2;0));0;max($H$2:H2)+1)

H11, copiée jusqu’en H15 : =si(nb.si($A$1:$A$15;A11)=1;min($H$2:H15)-1;0)

I3, copiée jusqu’en I15 :

=si(ligne()<=ligne($I$2)+max(H:H);inde(A:A;equiv(ligne()-2;H:H;0));"")

J3, copiée jusqu’en J15 :

=si(ligne()<=ligne($I$2)-min(H:H);index(A:A;equiv(-ligne()+2;H:H;0));"")

Une cerise sur le gâteau : le format conditionnel

Dans les deux blocs de résultats, j’ai utilisé un format conditionnel qui met un fond bleu à toutes les cellules affichant un résultat et les encadre. C’est simple, efficace, et cela rend le résultat plus agréable à lire…

Comme vous pouvez le constater en bas de la copie d’écran, ce format utilise une formule simple…