La validation de cellule (b)
Nous avons introduit la validation de cellules dans le dernier message, sans toutefois commenter les options d’autorisation du dernier écran. Nous voyons dans cet écran que nous pouvons valider :
- un nombre entier, entre deux bornes
- un nombre décimal, entre deux bornes
- une liste (nous en reparlons plus bas)
- une date, entre deux dates
- une heure, entre deux heures
- une longueur de texte, entre deux bornes
- un critère personnalisé (voir plus bas)
Voici ce que devient l’écran quand on sélectionne l’option « Nombre entier » :
La validation par liste
La validation par liste s’effectue soit en identifiant la liste des valeurs possibles − par exemple en entrant Oui;Non −, soit en sélectionnant un vecteur, horizontal ou vertical, contenant la liste des valeurs possibles.
Remarque 1 − On ne peut alors faire référence ni à un bloc d’une feuille différente, ni à une matrice (il faut que ce soit un vecteur horizontal ou vertical).
Remarque 2 − En revanche, rien ne vous empêche de définir la « source » de validation, c’est-à-dire le bloc de cellules en question, par une formule telle que =Jules, où Jules est un nom faisant référence à un vecteur d’une autre feuille !
La validation personnalisée
Nous avons là une fonctionnalité d’une puissance quasiment illimitée, que seuls peu d’utilisateurs d’Excel connaissant vraiment ou – a fortiori – maîtrisent.
Nous pouvons entrer n’importe quelle formule, avec des références absolues, relatives ou mixtes. Seules les saisies pour lesquelles cette formule est valide (donc aboutit à VRAI) seront alors valides.
Supposons par exemple que vous vous trouviez dans la cellule B1 et que vous ne vouliez accepter que des nombres impairs. Vous entrez alors la formule : =B1=2*ent(B1/2)+1.
Vous pouvez par exemple, dans une colonne « Crédit utilisé par le client », entrer une formule qui bloque la saisie de tout emprunt dépassant un montant défini à l’aide d’autres renseignements concernant ce client.
Remarque 3 − On retrouve dans ces formules le même potentiel que dans les formules servant à définir les formats personnalisés.
- un nombre entier, entre deux bornes
- un nombre décimal, entre deux bornes
- une liste (nous en reparlons plus bas)
- une date, entre deux dates
- une heure, entre deux heures
- une longueur de texte, entre deux bornes
- un critère personnalisé (voir plus bas)
Voici ce que devient l’écran quand on sélectionne l’option « Nombre entier » :
La validation par liste
La validation par liste s’effectue soit en identifiant la liste des valeurs possibles − par exemple en entrant Oui;Non −, soit en sélectionnant un vecteur, horizontal ou vertical, contenant la liste des valeurs possibles.
Remarque 1 − On ne peut alors faire référence ni à un bloc d’une feuille différente, ni à une matrice (il faut que ce soit un vecteur horizontal ou vertical).
Remarque 2 − En revanche, rien ne vous empêche de définir la « source » de validation, c’est-à-dire le bloc de cellules en question, par une formule telle que =Jules, où Jules est un nom faisant référence à un vecteur d’une autre feuille !
La validation personnalisée
Nous avons là une fonctionnalité d’une puissance quasiment illimitée, que seuls peu d’utilisateurs d’Excel connaissant vraiment ou – a fortiori – maîtrisent.
Nous pouvons entrer n’importe quelle formule, avec des références absolues, relatives ou mixtes. Seules les saisies pour lesquelles cette formule est valide (donc aboutit à VRAI) seront alors valides.
Supposons par exemple que vous vous trouviez dans la cellule B1 et que vous ne vouliez accepter que des nombres impairs. Vous entrez alors la formule : =B1=2*ent(B1/2)+1.
Vous pouvez par exemple, dans une colonne « Crédit utilisé par le client », entrer une formule qui bloque la saisie de tout emprunt dépassant un montant défini à l’aide d’autres renseignements concernant ce client.
Remarque 3 − On retrouve dans ces formules le même potentiel que dans les formules servant à définir les formats personnalisés.
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