Nous utilisons l’analyse en « Valeurs
par jour » pour cet article.
Nous pourrions aussi faire la même étude en prenant l’option « Valeurs cumulées ».
Nous pourrions aussi faire la même étude en prenant l’option « Valeurs cumulées ».
Je maintiens les réserves
initiales sur la difficulté – pour ne pas dire – l’impossibilité de trouver une
source fiable pour les données quotidiennes. Ceci dit, ces graphes sont
intéressants à analyser. Et, comme les données proviennent principalement d’une
source unique, cela donne quand même une certain cohérence à l’ensemble.
La France
Pour la France, on constate une
rapide montée en puissance depuis le 13 mars avec une culmination au début du
mois d’avril.
Ensuite, les valeurs ont une
nette tendance décroissante dont nous espérons qu’elle ne souffrira pas trop de
la fin du confinement actuel.
L’Italie
L’Italie a connu une croissance
très rapide entre le 13 mars et la fin mars. Ensuite, la décroissance a été
régulière, particulièrement régulière même, ce qui paraître surprenant quand on
connaît le caractère parfois fantasque et imprévisible de nos amis transalpins.
Ensuite, les valeurs manifestent
une nette tendance décroissante dont nous espérons qu’elle ne souffrira pas trop
de la fin du confinement actuel.
L’Espagne
Pour l’Espagne, comme pour la France
et l’Italie, le plafond se situe entre la fin mars et le début du mois d’avril.
On observe ensuite, comme pour la France et l’Italie, une décrue régulière mais
avec cependant beaucoup moins de régularité que celle observée par l’Italie et –
à moindre titre – par la France.
Les Etats-Unis
Sans surprise, les courbes des
USA sont décalées vers la droite dans le temps. En revanche, pour le moment, il
n’y a pas de claire évolution vers une régression. Est-ce dû à la sagesse
proverbiale de leur président ?
Conclusion
Espérons que ces courbes, si
jamais j’ai l’occasion de les reproduire dans quelque temps, auront eu la
sagesse de bien évoluer.
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